Les
suifs
d'os
tels
qu'ils
se
trouvent
ordinairement
dans
le
commerce,
sont
employés
tels
qu'ils
sont
pour
préparer
les
lampions
;
il
en
est
de
même
pour
le
service
des
savonneries.
Quant
aux
suifs
d'os
noirs
qui
restent
au
fond
des
chaudières,
on
les
purifie
en
les
faisant
fondre
et
en
les
tenant
12
ou
15
heures
à
l'étuve
:
je
pense
qu'en
accordant
10
pour
cent
de
déchêt
pour
les
mauvais
suifs,
on
serait
au-delà
de
ce
qui
serait
dû
pour
cette
opération.
Songez
à
ce
que
nous
vous
disions
l'autre
jour,
au
Comité,
Thénard
et
moi
:
on
vient
encore
de
me
parler
dans
le
même
sens.
Tâchez
de
voir
M.
Cosé
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